Dictionnaire breton des sciences et des techniques

mathématiques ◊ polyèdre inscriptible dans une sphère et dont toutes les faces sont des polygones réguliers isométriques

• bezañ zo pemp seurt polihedroù reoliek koñveksel, anvet soludoù Platon : an tetrahedroù reoliek (4 beg, 6 ker, 4 fas), an hegzahedroù reoliek pe kuboù (8 beg, 12 ker, 6 fas), an oktahedroù reoliek (6 beg, 12 ker, 8 fas), an dodekahedroù reoliek (20 beg, 30 ker, 12 fas) hag an ikozahedroù reoliek (12 beg, 30 ker, 20 fas)
  il existe cinq polyèdres réguliers convexes, que l’on appelle solides platoniciens : le tétraèdre régulier (4 sommets, 6 arêtes, 4 faces), l’hexaèdre régulier ou cube (8 sommets, 12 arêtes, 6 faces), l’octaèdre régulier (6 sommets, 12 arêtes, 8 faces), le dodécaèdre régulier (20 sommets, 30 arêtes, 12 faces) et l’icosaèdre régulier (12 sommets, 30 arêtes, 20 faces)
• bezañ zo ivez pevar seurt polihedroù reoliek nann-koñveksel ; anvet int polihedroù reoliek steredennheñvel
  il existe aussi quatre polyèdres réguliers non convexes ; on les appelle des polyèdres réguliers étoilés